Lu ce été, Le Boucher de Chicago m’a rappelé Le Diable dans la ville blanche, roman lu il y a quelques années et portant sur le même sujet. En parallèle, j’ai commencé à lire un essai toujours sur ce thème, […]
Jonathan Coe, Expo 58
Un matin d’un calme aussi mortel ne pouvait être qu’anglais. (p 32) Je me suis régalée avec Jonathan Coe il y a quelques années. En peu de temps, j’ai lu plusieurs titres, avant une longue pause. Et, après avoir retrouvé […]