In London we trust

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Photo Copyright MyLouBook (Pendant une virée au Tower Records près de Picadilly)

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Photos prises lors d’un de mes séjours à Londres. Celui-ci date d’avril 2011.

Merci à Londres et aux Anglais pour tous les moments uniques passés dans cette ville à nulle autre pareille. Toutes nos pensées sont avec vous aujourd’hui.

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Commentaires

Après Manchester… c’est horrible !
Heureusement, tes photos sont belles, merci de les partager avec nous.

Écrit par : PatiVore | 04/06/2017

oh oui vraiment de mauvais moments….punaise que tout s’arrete !

Écrit par : rachel | 04/06/2017

Quel bel hommage

Écrit par : Chicky Poo | 04/06/2017

Mes pensées aussi accompagnent Londres, ses habitants et ceux qui n’y sont que de passage…
Et parce que poursuivre malgré tout est selon moi et un hommage et une manière de résister, voici ma contribution au thème du 3 juin 2017.

– « Victoria et les Staveney » (2008) de Doris Lessing, dans une traduction de Philippe Giraudon –

Milieu ou fin des années 1980. Victoria, neuf ans, passe une sale journée : sa tante Marion, avec laquelle elle vit depuis cinq ans, a été conduite d’urgence à l’hôpital le matin même, et elle attend qu’on vienne la chercher à la sortie de l’école. C’est Edward Staveney, douze ans et grand frère d’un autre écolier, qui doit s’acquitter de cette tâche. Mais l’adolescent, après un rapide coup d’oeil dans la cour à la recherche d’une enfant qu’il ne connaît pas, repart avec le turbulent Thomas… et sans Victoria – gamine si fluette qu’elle ne paraît certes pas son âge, mais aussi gamine à la peau noire. Affolé et mort de honte, Edward revient un moment après à la recherche de Victoria, qu’il ramène chez lui (on ne lui a pas vraiment dit ce qu’il devait faire d’elle…) et dont il va si bien s’occuper qu’il lui laissera un souvenir indélébile. Et fondateur.
Parce que ce n’est pas seulement une sale journée que vit Victoria. Son existence est jalonnée de coups du sort : elle n’a pas de père ; elle est orpheline de mère ; sa tante Marion est atteinte d’un cancer de l’estomac et c’est Victoria qui veille sur sa lente agonie, assumant l’entretien du foyer ; à quatorze ans, elle échappe à l’Assistance publique grâce à Phyllis, voisine et amie de Marion, mais se voit contrainte de renoncer aux études pour contribuer aux charges de son nouveau foyer… Et surtout, dix ans après sa rencontre avec Edward, elle retombe par hasard sur Thomas, par lequel elle se laisse séduire et dont elle va tomber enceinte…

Doris Lessing aborde avec ce roman beaucoup de thèmes : le racisme et la lutte des classes pour commencer, et l’hypocrisie de la société. Il est question de rêves d’une vie décente alors que la réalité vous prend dans son étau, et d’ambition. La famille, de quelque origine ou de quelque composition qu’elle soit, en prend aussi pour son grade. On espère à certains moments un peu de chaleur ou d’amour, un peu de répit, un peu d’espoir, mais on ne rencontre que mirages, postures, sacrifices. Victoria, que l’on quitte lorsqu’elle aborde la trentaine, est déjà à la fois sans père, orpheline de mère, fille-mère, veuve, et dépossédée de ses enfants. C’est dur, sans concession. Mais c’est passionnant.

Écrit par : Cory | 04/06/2017

C’est horrible… j’ai choisi ces images ensoleillées et pleines de vie pour témoigner à ma façon de ma solidarité envers nos amis londoniens et anglais.

@ Cory : merci pour ton avis, que j’ai relayé sur facebook et ajouté au billet recap. Ce roman de Lessing m’avait déjà attirée précédemment et je me le renote après avoir lu ton avis très positif.

Écrit par : Lou | 05/06/2017

Merci Lou pour ces belles images qui me donnent envie de retourner à Londres (peut-être l’année prochaine si j’ai le temps !). Pensées pour tous les Anglais !

Écrit par : Alexielle | 05/06/2017

London forever

Écrit par : Cryssilda | 05/06/2017

Une pensée pour nos chers amis londoniens après les attentats, tu me donnes envie de remonter mon billet de l’an dernier, en hommage . J’y cours ! J’adore ce paddington !

Écrit par : nath | 05/06/2017

C’est bien triste tout ça.
Tes photos sont belles et ton billet m’a donné envie de partager quelques mosaïques avec mes photos de l’été dernier.

Écrit par : Hilde | 06/06/2017

On continue à penser à nos amis londoniens.

Écrit par : Lou | 10/06/2017

De jolies photos en cette période de deuil.

Écrit par : julie | 12/06/2017

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